| | | A vampire's Soliloquy; Joanne. |  |
| | | Auteur | Message |
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Joanne Montgomery
Messages : 3
Date d'inscription : 04/01/2009
Age : 43
| | Sujet: A vampire's Soliloquy; Joanne. Dim 4 Jan - 17:40 | |
| ● Presente Toi
On commence par la simplicité, la partie facile, déclinez votre identité
 (c)Misery Angel
» Nom(s) : Montgomery
» Prénom(s) : Joanne Roany
» Surnom(s) : Jo', Annie, ça dépend.
» Âge & Lieu de Naissance : Elle a 20 ans en apparence, 28 au total. Née à Chicago.
» Occupation : Étudiante.
● Faisons plus ample connaissance
Maintenant, on veux en savoir plus sur vous. Racontez nous votre vie avec tous les détails possibles.
» Description Physique :
Lorsqu'elle était humaine, il fallait avouer que les hommes ne se retournaient pas toujours sur elle, du moins d'après Joanne. Mais avec son air décontracté, sa bonne humeur et ses fossettes elle arrivait quand même à en charmer plus d'un. Aujourd'hui, sa beauté est encore plus impressionnante, plus froide mais plus profonde. Ses traits sont peu marqués et sa peau semble douce bien que froide et d'une pâleur sans égale. Ses longs cheveux châtains noirs retombent sur ses épaules fines et donnent eux aussi une aussi une impression de douceur au toucher, le contraste avec sa peau blanche reste assez impressionnant et fait penser à une belle endormie pendant des décennies. Pour ce qui est de son visage en lui même, il est très harmonieux. Des fossettes se dessinent toujours quand elle sourit, dévoilant une dentition blanche et des dents pointus et acérées même si elles ne le deviennent réellement que quand elle chasse. Pour ce qui est de ses yeux, c'est là sa vraie particularité. En effet, personne ne sait pourquoi mais la jeune femme a des yeux couleur bleu. Ils le sont restés même après sa transformation même s'ils sont encore plus clairs que quand elle était humaine. Les émotions des vampires sont toujours trahies par leurs yeux et avec Joanne, pas d'exception pour ça non plus cependant. Lorsqu'elle est énervée, triste ou quoique se soit de négatif, ses prunelles prennent une tête surprenante de violet et plus il devient sombre plus on vous conseillerait de dégager rapidement.
Une femme aux allures de spectre. Une fois, les premières années de sa transformation un jeune homme l'avait appelée la dame blanche. Et on peut avouer qu'un abruti pourrait s'y faire prendre. Joanne est assez grande, bon elle ne dépasse pas non plus le mètre soixante dix mais elle les frôle de peu. De plus, elle est tout en longueur, de longues jambes fines et une silhouette élancée et féline. Comme tous les vampires la jeune femme est très aérienne on va dire quand elle marche. On ne l'entend pas, elle est rapide et silencieuse. Gardant toujours une allure fière et pourtant détendue elle a tendance à dégager une certaine classe que peu égale. En même temps, son visage reste chaleureux et la rend alors encore plus désirable. Bien sûr, la jeune femme avait déjà un corps plus ou moins fin et était aussi grande mais avec sa peau d'une couleur blanche on lui donne des allures plus spectrales désormais. Comme une apparition.
» Description Morale :
Joanne a tendance à ne pas prendre de décision à la légère. En effet, quand elle fait quelque chose c'est parce qu'elle y a longuement réfléchi avant et qu'elle a envisagé toutes les possibilités. Elle est loin d'être une tête brulée en effet. Sa plus grand préoccupation et de prendre soin de sa famille et de son entourage et de limiter tous les dégâts. Elle ne veut plus agir comme celle qu'elle était avant et s'engage donc à peser le pour et le contre de chaque décision. Cependant, Joanne n'a aucun préjugés sur personne. Elle est très gentille et elle ne s'énerve jamais. Elle arrive très bien à rester douce et affectueuse. La belle brune a tendance à protéger les siens et à prendre soin d'eux, des instincts un peu maternel qu'elle ne contrôle pas trop mais il faut savoir aussi que sa confiance n'est pas donnée à tout le monde. Malgré tout, même si elle n'a pas de préjugés et qu'elle ne peut pas cacher la vérité elle ne peut pas non plus dire de quelqu'un qu'elle vient juste de rencontrer qu'elle lui fait entièrement confiance. Au contraire, la jeune femme est plutôt du genre à cacher ses sentiments et à jouer sur la carte du sourire. Parfois, elle est prise de nostalgie et à tendance à s'éloigner du reste de la famille. Ses souvenirs sont gravés dans sa mémoire et même si elle est très joyeuse elle ne peut s'empêcher de repenser aux meurtres qu'elle a commis. Tuer ses parents... Rien de plus horrible, n'est ce pas? Elle se dégoûte elle même et c'est pour ça qu'elle tente d'être irréprochable côté caractère. Elle protège donc les siens et garde ce caractère si gentil et doux que tout le monde lui connait. Cependant, Joanne ne supporte les ambiances stressantes, du moins celles où tout le monde reste assez soucieux et tourmentés alors la jeune femme a tendance à faire des blagues totalement débiles histoire de détendre l'atmosphère. Pour ce qui est de son humour il reste assez vaseux, il faut avouer même si elle rigole vite et pour un rien. Pourtant, elle garde ce film d'insensible et de renfermée quand on la croise ou qu'on ne le connait pas. Un voile de méfiance qui cache une fille au caractère pourtant joyeux et parfois assez solitaire. Un peu paradoxale comme jeune femme, il faut bien l'avouer.
» Votre Histoire avant la transformation :
<< - Je suis née un après midi de juin, année 1980. Année de débauche totale et de frénésie. Mes parents étaient vraiment des gens qui savaient profiter de la vie. Ils avaient tendance à écouter de la musique jusqu'à deux heures du mat', à partir faire le tour de l'Amérique, à tenter de raisonner les gens et à se trimbaler à poil dès que l'envie leur prenait. Un rien était fait pour pouvoir rire. Ils ne se sont jamais mariés, selon eux pas besoin d'une alliance pour être liés à vie... C'est dans cette ambiance là que j'ai vu le jour. Dans la caravane qui m'a accueillie toute ma jeunesse. Je me souviens qu'elle était petite et que ma mère s'amusait à faire pousser des plantes partout. Je la revois encore habillée en fringues amples et bariolées, en bandeau autour de ses cheveux noirs et bouclés, un joint dans la bouche pendant que mon père l'embrasse dans le cou. Je crois que cet épisode là me marquera à vie. Surtout que vingt ans plus tard, c'était moi qui posait mes lèvres sur son cou. En tout cas je peux dire que mon enfance fut très gaie. Je n'en garde que de bons souvenirs. Des feux de camp, de l'amour partout. C'est surtout ça qui me marque. Ces marques d'affection qui ne cessaient jamais. Bien sûr mes parents m'ont avouée m'avoir eu par "accident". Mais qu'il ne me regrettait en rien. "Mon trésor". C'était comme ça que mon père adorait me parler, trouver par inadvertance et dont il ne pouvait se séparer. Je crois que je suis devenue mature assez rapidement tout en gardant un air de gamine, une puérilité qui ne m'a toujours pas quittée, j'en ai conscience. J'ai toujours vécu dans cette réserve de hippie, là bas que de l'amour et des rires et en même temps des adultes qui savaient leur priorité qui se battaient jusqu'au bout pour les défendre. Comme lorsque nous sommes montés dans des arbres pour éviter qu'ils ne les rasent. Qui étaient ces ils? Je n'en sais rien mais je les ai toujours comparés à des méchants. Mes parents étaient de fervents défenseurs de la nature. J'ai suivi leur pas, adorant cette façon de vivre, ne connaissant que cette dernière. Même en grandissant, même en allant à l'école, je me lassais de mes camarades peu engagés, trop grognons. Ils ne savaient jamais de quoi je parlais, évoquant le projet de suppression de poste ou l'abattement d'arbres, ils n'avaient jamais entendu parler de choses comme ça. J'ai toujours aimé être un peu cultivée. Je le dois à mes parents. Puis l'adolescence est arrivée. J'ai séché des dizaines d'heures de cours, commençant à devenir cette hippie similaire à mes parents. Je suis tombée amoureuse. Je me souviens que j'avais eu une réelle histoire mais que mes parents n'aimaient pas ce mec. Trop BCBG sans doute. Moi il me plaisait. Puis, j'ai terminé le lycée, eu mon diplôme au ras des pâquerettes et n'ai jamais mis les pieds à l'université.>>
» Votre Histoire après la transformation :
<<- Après ma transformation, j'en voulais à la terre entière. J'avais soif et j'étais totalement dépaysée, je me souviens encore de la mine d'horreur de Roman, lui pourtant toujours si calme. Je me rappelle très bien qu'il avait eu une discussion avec Eleanor, qu'il s'en voulait, il ne cessait de me le rappeler. Mais je comprenais, et honnêtement je lui en voulais terriblement. J'étais un monstre par sa faute mais l'agonie dans laquelle je m'étais trouvée me rappelait aussi qu'il m'avait tout de même sauver. Sans doute la vie de vampire valait elle mieux que la mort. Non, en fait désormais j'en suis sure mais à l'époque, tout le monde le sait; les nouveaux nés n'ont pas la tête sur les épaules. Du coup, j'ai fini par les fuir. Parce que je me disais que c'était juste, sans doute un poison que je finirais par trouver ma véritable nature. Maxine avait pourtant clairement mentionné le fait que je le serai à vie et que je n'étais pas en état de me contrôler, que j'allais finir par regretter mes gestes, que je ne me contrôlais pas. J'ai pris conscience de ça bien plus vite que les autres sans doute. D'une part en voyant mon reflet. J'étais pareille mais en plus belle sans doute il y avait quelque chose de plus, une peau encore plus blanche, des yeux encore plus bleus et mes cheveux toujours aussi noirs. J'ai hoqueté de surprise en me voyant et puis il y a eu cette horrible tragédie. Je me souviens que je me nourrissais d'animaux parce qu'ils me surveillaient quand même mais quand je suis partie j'ai tout de suite voulu rentrer chez moi. Mes parents étaient là. Combien de temps avais je disparue? Je les voyais alors en larmes, effondrés sur le petit lit improvisé de la caravane; un joint sur la moquette comme s'ils n'avaient rien trouvé de mieux. Dans les bras l'un de l'autre. Et alors, j'aurais du les réveiller leur dire que j'étais là, que j'étais rentrée que je les aimais mais l'odeur de leur sang m'a fasciné. Une odeur que j'adorais, rien que les cheveux de ma mère me donnaient l'impression que je ne contrôlais plus rien. Cette nuit là, je les ai tués. Aujourd'hui encore, rien que d'y penser de nouveau, je sens que je suis un monstre. Je suis rapidement repartie de cette caravane, trébuchante, perturbée et profondément triste et bouleversée. Je venais de tuer mes parents. J'allais dire de sang froid mais l'expression est mal choisie... Je n'ai pas pu retourner au clan Montgoméry, honteuse, mal et surtout je ne voulais pas qu'ils me disent "je t'avais prévenue". Alors j'ai tenté de mettre fin à mes jours. J'ai tout essayé mais mon cœur ne battait plus, les poignards (ce qui était à l'origine de mon état) n'y faisait rien non plus. Me pendre ne servit à rien puisqu'en réalité je pouvais retenir mon souffle indéfiniment et que ma gorge cicatrisait. Bref, j'étais piégée, prise au piège de mon propre corps. Alors, au bout de quelques jours j'ai fini par rentrer vers ceux qui m'avait accueillie, ceux qui seraient à même de comprendre. Ils ne me sermonnèrent pas, ou très peu et m'aidèrent à accepter mon crime; peu à peu. Si j'avais décidé de rentrer si tôt c'est aussi parce que ma soif était devenue incontrôlable, tout autant que mon corps et qu'ils étaient les seuls à pouvoir m'aider. Ils le firent et je les ai très vite considérés comme ma véritable famille. J'avais abandonné les cours à l'université, les hippies n'avaient plus lieu d'être. j'avais une nouvelle vie, je suis donc rentrée à l'université la plus proche, j'ai étudié l'histoire deux ans. Puis la psychologie, puis la sociologie. n'étant jamais très douée pour les sciences. Mes connaissances ont commencé à devenir plus importante, ne me lassant pas d'apprendre de nouvelles choses mais il me fallait mentir sur mon âge et prendre mes gardes pour ce qui était de mes soifs lorsque j'allais en cour. Aujourd'hui je crois que je peux dire que tout va bien mieux. J'ai toujours des gros remords mais je les enfouis au plus profond de moi et j'ai une nouvelle famille même si cette dernière est menacée. Je ferais tout pour qu'on puisse s'en sortir. Je ne peux pas me permettre de les perdre. Je ne les laisserai jamais tomber, je ne les laisserai pas mourir comme je l'ai fait pour mes parents. >>
Dernière édition par Joanne Montgomery le Mar 6 Jan - 21:48, édité 1 fois | |
| | | | Joanne Montgomery
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Date d'inscription : 04/01/2009
Age : 43
| | Sujet: Re: A vampire's Soliloquy; Joanne. Mar 6 Jan - 21:32 | |
| » Famille :
Eleanor; Joanne la considère comme sa mère. Elle sait que cette dernière sera toujours là pour elle et elle lui sera toujours reconnaissante pour ce qu'elle lui a enseignée. La maîtrise d'elle même et surtout l'aider à traverser son épreuve. Tuer ses parents l'a bouleversée et Eleanor a été là pour l'aider à se relever.
Sebastian; a un côté réconfortant pour elle et elle sait qu'elle peut compter sur lui. Un peu comme un grand frère. Quand ça ne va pas, elle sait qu'il est là et en plus de ça, il partage lui aussi un don ce qui les a d'autant plus rapprochés. Elle pourrait le suivre les yeux fermés.
Maxine; réconfortante et toujours là pour elle. Joanne aime passer du temps avec elle. Elles se comprennent bien avec Cyrielle. Une chose est sure, elle a beaucoup plus d'expérience vampirique, et du coup elle va puiser pas mal de conseils chez elle quand une question la perturbe. Une relation de soeurs, non, x)
Roman; sans doute celui dont elle est le plus proche dans le clan. Elle l'adore vraiment et passer du temps avec lui et un vrai plaisir même s'il s'en veut toujours de l'avoir transformée. C'est sans doute ça qui les lie en fait mais elle ne lui en veut plus et le prend maintenant du bon côté. Ils partent souvent en chasse tous les deux.
Cyrielle; elle partage beaucoup de points communs avec elle et Joanne passe pas mal de temps en compagnie de Cyrielle. Le fait qu'elles aient un don les rapproche aussi pas mal. Elles partent en chasse avec Roman souvent.
Isaac; des hauts et des bas avec lui. Ils s'apprécient bien mais ce n'est pas celui avec qui elle lie le plus d'affinités; depuis quelques temps cependant elle a bien remarqué qu'il commençait à les surprotéger un peu et elle trouve ça vraiment attentionné même si elle essaye de le rassurer comme elle peut.
Noreen; elle ne comprend pas pourquoi elle veut tuer des humains. Personnellement elle n'a rien contre elle mais ça pourrait ne pas cesser. Elle veut à tout prix lui faire comprendre la souffrance que ça engendre et à quel point c'est difficile. Du coup, elle lui raconte pas mal de fois son histoire en essayant de la persuader.
● Ah ouais? Vous êtes spécial, vous?
Allez, montre nous à quel point tu es spécial, on a hâte de voir ça
» Nature : Vampire végétarienne et pacifique.
» Don : Elle est capable de créer des illusions.
» Votre transformation : Je me souviens que ce fameux jour j'étais à une manifestation avec mes parents. On défilait dans la rue, on arrêtait pas de gueuler pour se faire entendre ramenant des gens à notre cause. Pourquoi on manifestait? Je ne sais plus trop, une nouvelle centrale nucléaire je crois et en tant qu'écolo pur que nous étions, ça nous était tout à fait inconcevable. Même si à l'époque j'étais pas super écolo non plus, amoureuse de voiture et de sensations fortes. L'écologie m'arrangeait quand j'en avais besoin. Bref... On a fini par être nombreux et j'ai soudain sentit des mains qui m'attrapaient pour me tirer de la foule. J'ai même pas tenté de me défendre, je crois que j'avais sans doute abusé et que je planais sévère. Et puis y'a eu des coups, de plus en plus forts, des lèvres fermés et dures sur les miennes, des mains qui se baladaient sur mon corps pendant qu'un me retenait et m'empêchait de crier. Je n'en avais même pas la force. C'est là que j'ai sentit cette douleur horrible, cet acide qui me pénétrait. Je dirais que c'était un couteau, un poignard. Je n'en suis pas sure, je me suis effondrée, abandonnée dans une impasse. J'attendais que quelqu'un me trouve, m'emmène et je me félicitais d'avoir été totalement défoncée, d'avoir abusé de l'herbe plus que d'habitude parce que je crois que ça a quand même calmé un peu la douleur. Et puis, j'ai sentit des mains qui m'emmenaient de là et ensuite, plus rien je dois avouer. Jusqu'à ce que je me retrouve dans un endroit inconnu, froid et inquiétant. Et alors le feu c'est déclenché dans tout mon corps, je hurlais autant que possible, tenter de trouver quelque chose qui mettrait fin à cette souffrance. Alors j'étais en enfer? C'est la première chose qui m'est venue à l'idée parce que je souffrais trop et que le poignard n'était rien à côté. Je priais pour qu'on me tue, qu'on mette fin à ce carnage, que tout ça cesse. Jusqu'à ce que finalement mes veines s'obstruent totalement, jusqu'à ce que mon cœur cesse et laisse devant moi l'éternité. Ma transformation je la dois à Roman. Ma 'vie' aussi.
» Ce que vous pensez de votre nouvelle vie : Pour être franche, il faut quand même avouer que la jeune femme était loin d'être enchantée, très loin même. Elle ne supportait pas l'idée de pouvoir tuer, surtout quand elle a commis le meurtre de ses parents. La jeune femme s'en est très mal remis et a voulu mettre fin à ses jours, ne plus supporter ça et autant perdre la vie que continuer comme un monstre. Mais avec l'aide de toute sa famille, elle a réussit à refaire ça à ça et se dit que son régime végétarien est tout aussi bien. Elle peut continuer à "vivre" sans tuer quiconque.
● Encore, Encore
Et oui, nous sommes très curieux, encore quelques pas avant d'être validé. Ou pas (a)
» Goûts : Le sang de biche est celui qu'elle préfère, après les pumas sans aucun doute. En tout cas, pour ce qui est du caractère vampire mais il faut savoir que Joanne est une passionnée de vitesse et de sensations fortes. Elle adore sentir l'adrénaline. Du coup, elle adore les voitures. Oui, assez atypique pour une jeune femme mais c'est une vraie passion et son don a elle, son don d'humaine c'est la mécanique. Elle est très douée et adore travailler sur une voiture et la réparer. Ensuite, eh bien elle est passionnée de lecture et depuis qu'elle sait qu'elle a l'éternité devant elle, elle ne se prive pas pour dévorer des bouquins. La nuit est son royaume et lorsqu'elle ne chasse pas, elle aime espionner les humains. Voir leur mode de vie qui lui manque parfois. Elle sait que c'est se faire du mal mais elle n'y peut rien. L'éternité lui est réservée et elle compte donc tout essayer, découvrir de nouvelles choses, elle adore ça.
» Manies : Une manie? Retrousser sa lèvre supérieure sur ses dents quand elle se sent en danger ou très en colère. Joanne n'a pas vraiment de manie, à part celle de sourire très régulièrement.
» Phobies : Que les nomades arrivent à les retrouver et perdre sa famille. Elle ne se le pardonnerait pas. Sa phobie première? Tuer encore des humains.
» Vie Sociale : Joanne est d'une nature douce et gentille du coup elle peut facilement se lier d'amitié avec les autres mais certainement pas avec les humains. On va dire qu'elle a un peu peur d'eux et il lui faudrait une bonne raison pour les aborder. Seulement, si un humain lui parle, elle ne le rejette pas, disons que ça la rassure quand elle sait qu'elle a déjà mangé.
» Signe Particulier : Personne ne se l'explique mais Joanne a les yeux bleu ciel. Très clairs et pourtant profonds. Personne ne sait pourquoi elle a ça et pas les autres. Normalement ses yeux auraient du opté pour une teinte dorée et mordorée comme les autres mais même pas. Ils sont restés très clairs, plus clairs encore que quand elle était humaine. Quand elle commence à être énervée, angoissée ou qu'elle a soif ils se tentent en violet et non en noir comme les autres. Cependant, ils expriment autant ses sentiments que pour les autres vampires.
● Derrière l'écran
Allez, encore quelques petites réponses avant de pouvoir être libéré
» Pseudo : Sundee
» Âge : 16 ans
» Comment trouvez vous le forum? : Magnifique x33 
» Comment avez vous trouvez le forum? : Par Acide Edulcoré, Leavesden (L')
» Autre chose à dire? : Vivement le jeu (a) et juste une question peut on écrire à la 1ère personne dans nos topics? 
Et désolée pour le DP, ça ne tenait pas dans un seul post...
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